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IAM - Intense Art Magazine, 8 December 2016
Malala Andrialavidrazana: Mapping Humanity
Paula de Almeida

When visiting the exhibition L’Autre Continent, one cannot stay indifferent at the arresting sight of Malala Andrialavidrazana’s imposing digitally reconstructed maps, commanding the space above the listed and majestic staircase of the Havre Muséum.
Facing them from the safety of the opposing balustrade, the visitor is confronted by the Kafkaesque quality of Andrialavidrazana’s meticulous compositions: nineteenth century maps rub edges with banknotes, meeting her personal vinyl sleeves which she listened to as a teenager in Paris. Each of the titles of the works references the original date of the map that she has used as reference.


L'Oeil n°696, December 2016
Femmes artistes, le continent noir
Aurélie Romanacce


Art Absolument n°74, November-December 2016
Le Continent du divers
Ella Filippi


Next - Libération n°11018, 24 October 2016
Nouvelles impressions africaines au Havre
Magali Lesauvage


World Policy Institute, 17 October 2016
Reclaiming Cartography, Photography, and Colonial Imagery
Kristine Jordan

Fifty-eight years ago, the Malagasy Republic was declared an autonomous state within an association of countries known as the French Community. Much like other nations that fought for independence well into the second half of the 20th century, elements of colonial power dynamics are evident in Madagascar’s modern cultural productions. Using images of these cultural productions and printed archives from Africa’s colonial past, artist Malala Andrialavidrazana creates shifts in perspectives. Her latest collection is Figures, a series of photomontages that act as alternative, reframed histories. It is currently in exhibit at Le Muséum d'Histoire Naturelle in Le Havre, France.


Art Africa n°3, March 2016
Counterfeit Worlds
Ashraf Jamal

Penned in 1556, Cornelius Grapheus’ invitation stands at the cusp of Europe’s great modern era of exploration. Such was the passion for discovery, the zest for other-worldliness, that (in 1570) it would spawn the creation of Theatrum Orbis Terrarum or Theatre of the Countries of the World, the most popular and widely read publication of the sixteenth century. “Here was the world itself, with its many component parts,” writes Paul Binding, “and it was shown to be a place of extraordinary varieties and a singular whole.”
It is this fascination with inter-connectedness and difference which remains with us today. Ours is a globalised world; a world that still searches for some unifying Esperanto; a ‘theatre,’ still fragmented, despite all the talk of ‘a singular whole.’


Libération nº 10807, 19 February 2016
Good morning Africa (1/7) : Luttes et imaginaires démocratiques en Afrique
Laurent Fouchard


Financial Time Vol. 234 nº5, 11-17 February 2016
Cape Town Art Fair – Keep the door open
Ashraf Jamal



Diptyk nº 31, Dec. 2015 - Jan. 2016
Malala Andrialavidrazana : Être née quelque part
Syham Weigant

L’œuvre de cette artiste voyageuse est une succession d’allers retours entre la sphère intime et les questions globales qui interrogent les sociétés. Elle en accomplit la synthèse dans la série Figures, actuellement présentée aux Rencontres de Bamako.


Jeune Afrique nº 2867, 20-26 Dec. 2015
La vogue du photomontage
Nicolas Michel

Peut-être est-ce dû à la démocratisation extrême de la photographie, accessible à tout unchacun via l’incontournable smartphone, ou peut-être est-ce dû à l’influence du marché de l’art occidental, qui continue de peser de tout son poids sur les productions artistiques africaines, mais quoi qu’il en soit, la photo d’art dite plasticienne prend ses distances, sur le continent, avec le photoreportage et « l’instant décisif » cher à Henri Cartier-bresson. Le numérique a ouvert un champ des possibles que les créateurs n’hésitent pas à explorer de long en large, au risque de donner parfois l’impression de sombrer dans l’exercice de style. Les dixièmes Rencontres de Bamako, biennale de la photographie africaine organisée (et financée) par le ministère de la Culture du Mali et l’institut français jusqu’au 31 décembre, n’échappent pas à cette tendance. Parmi les artistes de la sélection officielle, beaucoup plus que dans le off, plusieurs jouent avec les images pour aller au-delà de ce que peut capter un objectif à l’instant Toùle doigt enfonce le déclencheur. Photomontages, mises en scène, superpositions, durée depause, tout est bon pour traduire le réel sans se laisser piéger ni par le visible ni par l’immédiat. Notre sélection, partiale et partielle.


Le Point nº 2253, 12 Nov. 2015
Bamako, le temps retrouvé
Valérie Marin la Meslée

Que nous racontent-ils, ces artistes venus du continent et de la diaspora, dont 12 s'expriment en vidéo dans l'exposition panafricaine "Telling Time" ? "Le passé et le présent, plus que le futur", constate Bisi Silva : la crise au Mali, djihadistes casqués et manuscrits de Tombouctou, la révolution au Burkina Faso (traitée par deux photographes), les migrants dans les villes, jusqu'à Alger. Mais le passé y a la part la plus forte, mêlant souvent histoire collective et individuelle. Il faut s'arrêter sur celle, merveilleuse, du vieux professeur de Georges Senga, photographe de RDC, qui admirait tant l'homme et les idées du leader assassiné Patrice Lumumba qu'il allait jusqu'à lui ressembler physiquement. À Bamako, on joue avec les archives, on se réapproprie l'histoire du continent. Des studios d'autrefois sortent d'émouvants clichés, comme ceux que véhicule l'installation du jeune Sénégalais Ibrahima Thiam. Un autoportrait de l'Afrique ?


Le Quotidien de l’Art nº937, 5 November 2015
Une Biennale de la photo en forme de résistance
Roxana Azimi


Contemporary And, Print Edition nº4, 2015
Bamako reaffirms its place as a photographic hub
Julia Grosse


Diptyk nº 30, October-November 2015
Embarquement pour Bamako
Syham Weigant


TK-21 LaRevue n° 32, 24 March 2014
L'autre mémoire
Jean-Louis Poitevin